Citation :
Maintenant j'ai quand-même un peu de mal à comprendre qu'une personne qui n'a pas subi de traumatisme ou n'a pas été élevée dans un contexte un peu coincé (religion, etc.) s'offusque plus que ça de ce genre de pratiques (certes relous).
Alors déjà, mon espace vital ne se limite pas à mon anus. Ensuite, le contexte, c'est pas forcément l'éducation parentale ou les effets secondaires des visites de tonton dans la chambre le soir. On va dire que mon périmètre de sécurité est calibré sur ma sensibilité physiologique (hyperacousie + hypersomie) et une éducation générale de type nordique standard (voir les dernières news/memes/blagues sur les Finlandais et le degré de "saturation" du nouveau tram à Tampere).
C'est à dire que je vais préférer traverser tout Paname à pieds que devoir prendre le métro en heure de pointe et supporter le barouf et l'odeur corporelle de 250 crétins en même temps.
Et ça c'était avant, maintenant que je vis à 4 bornes de la mégapole de 80 habitants la plus proche, c'est pire.
Citation :
Vous n'avez jamais joué, au collège ou au lycée, à des jeux débiles du genre "jeu du rond", "protège ton flanc", ou simplement mis un croche patte par provocation ? Je ne pense pas connaître plus de quelques personnes IRL qui n'aient pas fait ça au moins une fois (et, pour le coup, c'étaient généralement ceux qui étaient le moins emmerdés par les pratiquants de ce genre de jeux pourris).
Jamais entendu parler de ces jeux non plus. Après, quand t'es au primaire, ou limite au collège si t'es pas un rapide, ça peut arriver dans le cadre de l'apprentissage social. Comme de foutre une main au cul des gonzesses, tout ça. Le truc c'est que là le mec a 18 piges et n'est probablement plus au collège (même si on sait jamais avec ces abrutis de musculeux même pas foutus de grimper à un arbre).
Citation :
Frapper un type pour une blague puérile et immature, c'est quoi le prochain level, fusiller un mec pour une caricature ?
S'il approche son crayon de mon anus ou de n'importe quelle composante de ma carcasse, pas fusillé, mais aisément tabassé comme tous les autres. Y'a que comme ça que les abrutis acceptent ce qu'ils ne sont pas disposés à comprendre.